L'amitié
Faisons un détour de nos fortes pensées sans entrechoquer nos prôches,
Afin de comprendre et d'expliquer cette puissance qui nous qui nous gouverne.
Sainte intuition et conseils déroutants, nos âmes telles la roche,
Exquivent leurs coups d'un bouclier d'amour et de verne.
Miséreux manants, votre pouvoir est grand de vos paroles insencées
Qui ne terniront jamais de souille notre belle amitié.
Souffrez dans votre âme, et pleurez votre liberté à demie effacée,
Dont nous seuls avons les clefs de ce monde sans pitié.
Ma vie est amour, débordante de couleurs dont vous n'en jouissez point,
Et me mettre à votre hauteur, dieu m'en écarte de sa main divine,
Pourqu'un jour puissiez comprendre votre solitude; De vous je veux être loin.
Oyez de vos oreilles bouchées, mon chemin était déjà tracé de toile et de sanguine.
Amitié, voyelles et consonnes d'amour aux sons différents qui entravent ma vie,
Qui m'enpêchent de dormir me menant à l'oublis.
De grâce, ouvrez vos coeur que je finisse ma vie
Le coeur vers Fanfan, la main sur le romarin et l'esprit sans soucis.
Juan